Lisez« Fiche de lecture Le Dernier jour d'un condamné - Résumé détaillé et analyse littéraire de référence » de Victor Hugo disponible chez Rakuten Kobo. La collection « Connaître une œuvre » vous offre la possibilité de tout savoir du Dernier jour d'un condamné de Victor H
Ledernier jour d’un condamné : Les personnages 1) Le condamné : on ne sait pas quel crime il a commis. Pourtant, il n’est pas peçu comme un monstre ; il vit atocement l’attente de son exécution. Il a très peur et il voudrait être sauvé pa la gâce du oi, mais il sait ue cela est impossible. Il semble s’ête epenti pou ce u’il a
Toutà propos du Dernier jour d'un condamné sur le forum. Tout à propos du programme de français de la première année bac. le dernier jour d'un condamné. victor hugo. u0001u0001. le livre se présente comme le journal qu'un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence et où il relate ce qu'il a
Aprèsavoir détaillé la biographie de Victor Hugo, Lucile Lhoste nous transporte directement au sein de l'histoire du Dernier Jour d'un condamné, qu'elle résume fidèlement. Elle se penche ensuite sur le contexte qui a vu naître ce roman, l'instabilité politique qui gangrène la France du XIXe siècle, l'engagement des écrivains romantiques ainsi que l'exécution d'un
Ilest considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. En 1829, il a publié Le Dernier Jour d’un condamné, un plaidoyer romancier pour l’abolition de la peine de mort pendant la Restauration sous Charles X. Le récit est raconté par un narrateur interne, qui est condamné à mort pour une raison pas
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Le dernier jour d’un condamné d’Hugo Personnages principaux Le condamné à mort Marie, sa fille Résumé par chapitres Chapitre 1 L’idée qu’il est condamné à mort l’obsède. Il n’y a pas que son corps qui est enfermé, sa pensée l’est aussi. Chapitre 2 Il raconte le procès. Il raconte qu’il a eu une lueur d’espoir car il faisait beau. Jusqu’au verdict, il se sentait libre puis il s’est senti brisé. Il sera tué dans six semaines Chapitre 3 Il fait comme si cela ne le touchait pas. Il se dit que tout le monde doit mourir une consolation ? Chapitre 4 Il décrit Bicêtre, lieu où il est emprisonné. Beau de loin, effrayant de près. Il dit que c’est la vie. Chapitre 5 D’abord la camisole puis il a le droit de sortir et reçoit même papier et encre. Il apprend l’argot au contact des autres détenus. Cela le dégoute. Chapitre 6 Il veut écrire mais ne sait pas quoi. Il se décide à écrire ce qu’il ressent dans sa prison. Il pense que cela servira peut-être un jour. Chapitre 7 Il se critique lui-même. Il se moque qu’il n’y ait plus d’échafaud car il sera mort. Cette idée le traumatise. Chapitre 8 Il compte le temps qu’il lui reste et se rend compte qu’il ne doit plus rester beaucoup de temps. Chapitre 9 Il a fait son testament même s’il sait que c’est inutile. Il s’inquiète surtout pour sa fille Marie. Chapitre 10 Description de son cachot Chapitre 11 Il décrit un peu ce qui est écrit sur les murs de son cachot. Quel est son crime ? Pourquoi a-t-il versé du sang ? Chapitre 12 Il se rend compte qu’il est dans la même prison que des monstres. Il en a peur. Il a l’impression qu’ils sont présents. Chapitre 13 Il assiste au spectacle » certains prisonniers sont transférés. Cela le distrait même si c’est horrible. Ils l’appellent camarade. Il a peur et s’évanouit. Chapitre 14 Il se réveille à l’infirmerie où il profite d’un vrai lit. Départ des forçats pour les galères, il préfère la mort. Chapitre 15 Il est sorti de l’infirmerie. Il pense que s’il y était resté, il aurait pu fuir. Il ne veut plus avoir d’espoir. Il sait qu’il va mourir et a du mal à s’y préparer Chapitre 16 Il entend une jeune fille chanter cela le réjouit mais le fait qu’elle chante une chanson impure le rend triste et l’écœuré. Tout est gâché par la prison même les jeunes filles Chapitre 17 Il rêve d’évasion mais revient très vite à la réalité. Chapitre 18 On vient le voir pour lui demander ce qu’il veut manger. Va-t-il mourir aujourd’hui ? Chapitre 19 Il va être tué aujourd’hui, c’est officiel car il a reçu la visite du directeur. Chapitre 20 Il admet qu’il n’a pas à se plaindre. Personnification de la prison en homme les geôliers, etc… Chapitre 21 Il sait que tout est fini. Il a vu le prêtre et l’huissier. Il n’a plus aucun espoir. Chapitre 22 Il raconte son transfert jusqu’à la Conciergerie. Il est pensif et ne parle presque pas. On le compare aux autres condamnés à mort lors du même trajet. Chapitre 23 Il se retrouve avec son successeur ». Celui-ci lui raconte son histoire. Il est très pensif et ne parle presque pas. On l’emmène dans la chambre où il va devoir attendre la mort. Chapitre 24 Il est très en colère car l’autre a pris sa redingote. Il pense que la mort rend méchant Chapitre 25 Ils lui apportent tout ce qu’il demande. Chapitre 26 Il pense à sa fille et la plaint. Elle aura une vie misérable à cause de lui. Il se demande si c’est bien lui qu’on va tuer même s’il connaît la réponse. Chapitre 27 Il se rend compte qu’il ne sait même pas comment il va mourir. Il connaît le concept mais c’est tout. Chapitre 28 Il se souvient avoir déjà vu l’échafaud, place de la Grève. Il se dit que ses bourreaux sont, à ce moment-là, en train de graisser la rainure. Chapitre 29 Il espère la grâce. Maintenant, il préfère les galères. Chapitre 30 Il a renvoyé le prêtre car celui-ci lui donnait l’impression de n’être qu’une personne de plus, il ne lui a trouvé rien de consolant. Chapitre 31 Un architecte vient prendre les mesures de la prison, ils vont l’améliorer. Chapitre 32 Changement de gardes qui lui demande si, un fois mort, il pourra revenir pour lui donner les chiffres de la loterie. Il a presque réussi à rouler le garde. Il y a mis beaucoup d’espoir et est d’autant plus désespéré. Chapitre 33 Les souvenirs lui reviennent. En particulier la soirée avec Pépa. Chapitre 34 Il compare sa vie d’avant à celle de maintenant. On ne sait toujours pas pourquoi il a commis un crime. Chapitre 35 Il pense à la vie qui continue à tourner autour de lui. Chapitre 36 Nouveau souvenir d’enfant qui l’effraye. Chapitre 37 Description de l’Hôtel de Ville qui est effrayant et laid, ce qui est encore pire les jours d’exécutions Chapitre 38 Il dit que la mort va le guérir. Il se sent tout courbaturé. Chapitre 39 Il se demande comment ils savent que c’est sans douleur. Il contredit car pendant six semaines, il a souffert. Chapitre 40 Il ne fait que penser au roi et donc espérer la grâce. Il se dit que le roi est aussi un homme comme lui. Chapitre 41 Il se pose beaucoup de questions et demande un prêtre pour avoir des réponses. C’est toujours le même prêtre. Chapitre 42 Il s’est endormi pendant 1h. Il a fait un cauchemar. L’aumônier lui apprend que sa fille l’attend. Chapitre 43 Il voit sa fille qui ne le reconnaît pas. Cela lui fait beaucoup de mal. Chapitre 44 Il se sent prêt à mourir. Chapitre 45 Il explique la réaction du peuple lors de son exécution. Chapitre 46 Il plaint sa fille. Il écrit son histoire pour elle, pour qu’elle sache pourquoi son nom est déshonorant. Chapitre 47 L’éditeur dit que les feuillets n’ont pas été retrouvés. Chapitre 48 Il raconte le trajet jusqu’à la place de la Grève. Il se rend compte que c’est réel. On lui laisse écrire ses dernières volontés. Chapitre 49 Il demande encore sa grâce ou quelques minutes pour l’attendre. Il entend monter…
Le Dernier Jour d’un condamné est le troisième roman écrit par Victor Hugo en 1828, dans lequel l’écrivain raconte, sous forme d’un monologue interne, l’histoire d’un homme condamné à la peine capitale qui vit ses dernières souffrances dans l’attente de son exécution. Sans préciser ni l’identité du condamné ni la nature de son crime, le livre évoque les peurs de cet homme qui se retrouve seul devant son destin, et parle également de son espoir et de sa famille, notamment sa fille, sa femme et sa mère. Adoptant les techniques de l’autobiographie, le roman se compose de 49 chapitres avec un récit qui comporte trois parties ; Bicêtre, la Conciergerie et l’Hôtel de Ville qui se consacre au dernier voyage vers la Place de Grève qui symbolise la guillotine. Résumé chapitre par chapitre du Dernier jour d’un condamné Chapitre 1 Tout en se rappelant son passé de liberté, il parle de l’obsession vis-à-vis de l’idée de mourir sur la guillotine. Chapitre 2 Seul dans sa cellule, il s’enferme dans l’angoisse et la souffrance morale. Chapitre 3 Le condamné semble accepter ce jugement et se plonge dans ses rêves. Chapitre 4 du Dernier jour d’un condamné Autrefois hôpital pour les soldats infirmes, la prison de Bicêtre est dans un état délabré et vétuste. Chapitre 5 Grâce à son obéissance et à quelques mots latins, il bénéficie de faveurs comme le papier ou encore les plumes. Chapitre 6 Le condamné décide de noter son journal et se lance dans l’écriture afin d’oublier ses angoisses. Chapitre 7 du livre de Victor Hugo Il remet en question l’idée d’écrire du fait qu’il ne voit pas d’intérêt à sauver d’autres hommes alors que lui-même est condamné à mourir. Chapitre 8 Dans l’attente de son pourvoi en cassation, il s’aperçoit soudain qu’il est à son dernier jour. Chapitre 9 En faisant son testament, le prisonnier regrette de quitter des personnes fragiles et vulnérables ; sa femme et sa mère, mais surtout sa fille de trois ans. Chapitre 10 Enfermé dans une cellule de deux mètres carrés et entourée de quatre murailles de pierres de taille. Chapitre 11 Il passe son temps à décrire les murs de sa cellule, mais il est pris de peur et d’affolement dès qu’il a vu l’échafaud dessiné sur le mur. Chapitre 12 En découvrant sur les inscriptions murales les noms de quatre criminels célèbres passés par la même cellule, comme Papavoine, un tueur d’enfants, il est pris de panique à l’idée de la mort. Chapitre 13 Le prisonnier raconte l’agitation de la prison lors du départ des forçats pour Toulon. Chapitre 14 du Dernier jour d’un condamné Après avoir repris connaissance, il se retrouve dans l’infirmerie à observer par la fenêtre le départ des détenus à la prison de Toulon. Chapitre 15 Désespéré et torturé moralement, le prisonnier retourne dans sa cellule, en espérant obtenir une grâce imaginaire qu’il n’obtiendra jamais. Chapitre 16 Pendant les quelques heures passées à l’infirmerie, le prisonnier avait entendu la voix d’une jeune fille qui chantait l’histoire d’un assassinat. Chapitre 17 Dans ses idées, il rêve de s’évader, mais son rêve est interrompu par la réalité de l’incarcération et de la mort. Chapitre 18 Le gardien entre dans la cellule et lui demande, avec une politesse excessive, ce qu’il désire à manger. Chapitre 19 Lors d’une visite inattendue, le directeur de la prison se montre agréable et gracieux. Angoissé, le prisonnier comprend que l’heure de son exécution est venue. Chapitre 20 Terrifié, il pense à son surveillant et à la prison qui remplit son esprit. Chapitre 21 Il est informé du rejet de sa demande du pourvoi en cassation. Chapitre 22 Le prisonnier se fait conduire à la Conciergerie en attirant la curiosité des passants qui s’arrêtent pour regarder la voiture. Chapitre 23 de l’oeuvre d’Hugo Dès son arrivée au Palais de Justice, le prisonnier est enfermé en compagnie d’un autre condamné. Chapitre 24 Il est furieux du fait que l’autre condamné lui a pris sa redingote. Milieu et suite du résumé du dernier jour d’un condamné Chapitre 25 Le prisonnier est amené dans une cellule équipée d’une table, une chaise et tout pour écrire. Ce confort reste toutefois sous la surveillance d’un gardien de proximité pour empêcher toute tentative du suicide. Chapitre 26 Convaincu de la certitude de son exécution, il écrit une lettre à sa fille dans laquelle il exprime toute sa douleur et sa souffrance. Chapitre 27 Obsédé par la guillotine, il essaie d’imaginer son exécution qu’il prévoit atroce. Chapitre 28 du livre Dernier jour d’un condamné Ayant déjà assisté à une exécution, le narrateur imagine comment sera la sienne. Chapitre 29 Le malheureux détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas, et se révolte contre la peine de mort. Chapitre 30 Il renvoie le prêtre qui revient le consoler et souhaite rester seul pendant sa réflexion. Chapitre 31 L’architecte de la prison envisage de rénover les murs de la cellule du détenu au cours de l’année suivante. Chapitre 32 L’arrivée du nouveau gardien et la fin du rêve de l’évasion. Chapitre 33 Il préfère se réfugier dans le rêve pour retrouver des souvenirs en compagnie de sa bien-aimée la petite Espagnole Pepa. Chapitre 34 Il regrette profondément son crime, et ne pense qu’à sa mort qui est pour bientôt. Chapitre 35 Il estime que contrairement à lui, les gens ordinaires sont vivants et libres. Chapitre 36 Il se rappelle lorsqu’il a évité une chute mortelle lors de sa visite à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Chapitre 37 de l’ouvrage de Victor Hugo Dernier jour d’un condamné Le détenu décrit l’Hôtel de Ville au moment des exécutions observées par les spectateurs. Chapitre 38 A deux heures et quarante-cinq minutes, le prisonnier ressent des douleurs physiques violentes. Chapitre 39 Il essaie d’imaginer par quels moyens il va supporter son exécution, et souffre davantage. Résumé du chapitre 40 Il rêve d’une éventuelle grâce du roi, et refuse de perdre espoir. Chapitre 41 Le prisonnier réclame la présence d’un prêtre tout en décidant d’affronter la mort avec courage. Chapitre 42 Après le départ du prêtre, le prisonnier a fait un rêve qui l’a ramené jusqu’à son enfance. Dès son réveil, sa fille est venue le visiter. Chapitre 43 Constatant que sa fille ne le croit pas, il plonge dans l’obscurité de ses angoisses. Chapitre 44 Terrifié par la mort, il revoit malgré lui le déroulement de son exécution. Chapitre 45 Il pense à la place de Grève et aux autres qui seraient exécutés après lui dans l’indifférence totale. Chapitre 46 Malheureusement, il n’a plus le temps d’écrire afin de raconter à sa fille son histoire et ses souffrances. Chapitre 47 Une note signalant que le narrateur n’avait pas le temps pour écrire son histoire. Chapitre 48 Accompagné de son équipe, le guillotineur veille à la toilette du condamné avant de le transférer pour l’exécution Chapitre 49 et fin du livre Grâce à son instinct naturel de survie, le prisonnier a tendance à s’attacher à la vie jusqu’au dernier moment.
Une page de Wikiversité, la communauté pédagogique libre. Voir l'extrait et le plan du commentaire. Introduction[modifier modifier le wikicode] Victor Hugo est un poète, dramaturge et prosateur romantique français du XIXe siècle. Il se manifeste comme un des chefs de file du mouvement romantique français avec Notre-Dame de Paris en 1831, et plus encore avec Les Misérables en 1862. Il est considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. En 1829, il a publié Le Dernier Jour d’un condamné, un plaidoyer romancier pour l’abolition de la peine de mort pendant la Restauration sous Charles X. Le récit est raconté par un narrateur interne, qui est condamné à mort pour une raison pas présente dans le roman. Dans l'extrait, le personnage principal récit son introspection. Questions possibles[modifier modifier le wikicode] Qu'est-ce qui fait l'efficacité de cet incipit ? Comment Hugo dénonce-t-il la peine de mort à travers cet incipit ? Une entrée en matière brutale qui bouscule le lecteur[modifier modifier le wikicode] Un sujet horrifiant abordé frontalement[modifier modifier le wikicode] Tout d'abord, l'histoire commence in medias res avec le narrateur déjà condamné à mort, évoquant un sujet horrifiant abordé frontalement. Ceci est caractérisé par le titre choisi par Hugo, Le Dernier Jour d'un condamné, pour mettre en valeur la certitude du sort du narrateur et la futilité de tout espoir. Même le début de l'incipit commence par Condamné à mort ! » pour focaliser ce thème. L'enfermement du texte par la phrase exclamative Condamné à mort ! » crée un phénomène d'insistance en répétant l'expression plusieurs fois dans l'extrait. On relève le même effet évoqué par la gradation à partir de cette pensée ». Le comportement interne du narrateur est défini par sa peur de son sort inévitable. Le quatrième paragraphe est en effet une description d'un rêve de cette peur matérialisée et personnifiée par les verbes d'action comme elle se glisse » et épie ». Lorsqu'il s'est révéillé de ce rêve par l'expression ce n'est qu'un rêve ! », il est confronté par le fait qu'il a créé lui-même son propre cauchemar de manière subconsciente. Le narrateur se compare aussi à son ancienne identité et compare ce dernier avec le terme un autre homme » pour créer une dimension généralisante, impliqué par l'usage du déterminant indéfini, du nom commun et l'absence de caractérisation et de circonstance. Des émotions exacerbées[modifier modifier le wikicode] Deuxièmement, les émotions exacerbées par le narrateur sont indiquées par le registre pathétique employé par le texte. En effet, l'usage des sujets et des déterminants possessifs à la première personne crée un effet personnel de la situation avec une focalisation interne. Par exemple, j'habite », j'étais », je suis » ainsi que mon esprit » et mon corps ». La structure du texte est de forme d'un journal grâce à l'indication du lieu précis dans laquelle l'éntrée est écrite à la première ligne du texte Bicêtre », ce qui ajoute sur l'aspect personnel du texte. De plus, l'usage du vocabulaire péjoratif focalise la misère du narrateur, provoquant la pitié chez le lecteur, comme horrible », sanglante » et implacable ». Par ailleurs, l’indignation du système penal tenue par le narrateur est exprimée par les marques d'expressivité présentes dans le texte comme Condamné à mort ! », Ah ! » et Hé bien ! ». Cette dénonciation se manifeste dans l'antithèse entre les termes rêve » et réalité » qui sert déconcerter la différence entre ce qu'est réel et ce qu'est illusoire ou irréel quand il s'agit de punition, impliquant que la notion de la peine de mort est injustitiable dans la réalité si son effet moral et psychologique est indistinguable. Un décompte macabre[modifier modifier le wikicode] Finalement, l’atmosphère générale de l’extrait peut être intreprété comme un décompte macabre. En effet, il y a la présence de nombreux marqueurs temporels comme éveiller », sommeil » et rêve » qui mettent en valeur l'inévitabilité du sort du narrateur. Cette futilité produit une dimension tragique qui entoure le narrateur. Les valeurs du conditionnel sont fréquemment présentes dans le texte qui démontrent qu'il y a des décisions que le narrateur aurait fait, impliquant la notion du regret. Par exemple, mon esprit voudrait » et Quoi que je fasse ». Cette idée est très rémarquée dans le fait que le narrateur tente à dérire son passé heureux. Transition[modifier modifier le wikicode] La tragédie de cette interspection nous mène au portrait pathétique d'un homme désesperé. Le portrait pathétique d'un homme désesperé[modifier modifier le wikicode] Les regrets d'un passé heureux[modifier modifier le wikicode] En premier temps, le portrait pathétique d'un homme désesperé se manifeste dans les regrets du passé du narrateur. Sa description d'une vie passée variée et riche est promue par l'usage d'une accumulation et des noms communs au pluriel pour caractériser la plénitude de son ancien monde, comme des batailles gagnées, des théâtres, des jeunes filles ». Aussi, les outils de la totalité renforcent cette idée de plénitude d'une époque lointaine passée de sa vie. Par exemple, plein », sans fin », inépuisables » et toujours ». En outre, la métaphore filée sur la couture provoque implique la richesse culturelle de cette vie, dans brodant d'inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie ». Cependant, ces regrets se fusionnent par la conscience d'un bonheur définitivement perdue, produite par la temporalité du passé et du verbe modal pouvoir », dans je pouvais ». Cette divergence entre ce bonheur et l'enfer du présent existe aussi grâce au champ lexical du divertissement dans le texte, générant une antithèse de la captivité. Par exemple, théâtre », fête », s'amuser » et fantaisies ». Un emprisonnement éprouvant[modifier modifier le wikicode] En deuxième temps, ce portrait pathétique est remporté par les horreurs de la réalité, décrits par un vocbulaire sur le corps malmené du narrateur, comme courbé », aux fers », me secouant », convulsif » et sursaut ». La maltraitance ne se limitent pas au corps, mais aussi à son environnement. En effet, il y a des caractérisations péjoratives qui dépeintent un milieu dangereux et hostile comme par exemple horrible réalité », rayons pâles » et sombre figure ». Aussi, l'omniprésence de la pensée provoque un effet de matérialisation et voire d'étouffement grâce à la forte présence des compléments circonstanciels du lieu comme sur » et dans ». La torture psychologique[modifier modifier le wikicode] Finalement, cette idée d'une pensée peut être considérée comme obsédante, produisant une torture psychologique pour le narrateur. Les négations exceptives supposent une fixation intrinsèque chez le narrateur, comme par exemple Je n'ai plus qu'une pensée, qu'une conviction, qu'un certitude ». Cette vision fantastique est décrite par l'usage des verbes pronominaux comme se glisse », se mêle » et se colle » en combinant l'imagination du narrateur avec la réalité. Ceci est aussi remarquée par sa personnification, comme par exemple mains », voix », jalousie », épie » et infernale », où ce dernier implique une origine d'un monde immatériel. En outre, l'antithèse spectre de plomb » propose la notion d'un objet abstait que se matérialise, provoquant un effet fantastique au niveau de torture. Conclusion[modifier modifier le wikicode] L'efficacité de cet incipit réside dans l'entrée en matière brutale qui bouscule le lecteur et qui sert à décrire l'environnement hostile et macabre qui entoure le narrateur. Conjointément au portrait pathétique d'un homme désesperé, il explore son esprit brisé et comment il perçoit le monde différemment, fixant l'introduction pour le reste de l'intrigue.
Résumé détaillé dernier jour d'un condamné Victor Hugo Bicêtre du chapitre I au chapitre XXI Chapitre IDepuis cinq semaine, dans sa cellule à Bicêtre un jeune condamné se rappelle sa situation d’homme libre autrefois par rapport à sa situation réelle d’homme captif, obsédé par l'idée de la mort qui le poursuit partout en gâchant son IILe narrateur revient sur le jour de la proclamation de sa condamnation à mort dans la salle d’audience Il décrit les circonstances de son procès et ce sentiment de clôture entre lui et le monde qui prend la couleur d’un linceul après ce jugement fatal. Chapitre IIIle condamné semble accepter ce verdict en pensant que tous les hommes sont condamnés à mort un jour ou l’autre. Il est alors soumis à son destin. Chapitre IV Il est alors transféré dans une cellule hideuse à Bicêtre où il a passé cinq décrit brièvement cette hideuse VDès l’arrivée du narrateur à Bicêtre, les gardes ont multiplié les précautions pour empêcher son suicide, ensuite on lui a remis une camisole. Grâce à sa jeunesse, sa docilité et à quelques mots en latin, on lui a accordé des faveurs comme la promenade hebdomadaire , le papier, l’encre, une lampe et des plumes pour écrire. En plus, à l’heure de la récréation, on le lâche dans le préau pour causer avec les autres détenus qui lui ont appris à parler argot. Chapitre VI Après hésitation, le condamné décide d'écrire le journal de ses souffrances pour se divertir, pour oublier sa situation de condamné et pour contribuer à l'abolition de la peine capitale en s’adressant à ceux qui jugent et qui condamnent afin de les sensibiliser surtout à cette lente succession de torture qui commence par l’arrêt de mort et se termine dans la place de Grève .Chapitre VIILe désespoir du condamné qui s’interroge sur l’importance de ce journal après sa mort en espérant qu’il puisse être utile à d’autres lorsqu’il s’agit de sauver des têtes qui pensent du couteau de la guillotine. Chapitre VIII Le narrateur commence à compter les jours sans s’assurer du temps qu’il a passé à Bicêtre cinq ou six semaines .Chapitre IXLe condamné vient de faire son testament. Il pense à sa famille, victime de la loi, qui va rester après sa mort sans protection ni ressources, en s’inquiétant surtout pour sa fille Marie, âgée de trois XLe condamné nous décrit son cachot de l’intérieur vers l’extérieur afin de dévoiler la situation misérables des condamnés en l’absence des conditions minimales pour une vie décente ni porte ni soupirail, une porte dominée par le fer, un matelas en paille et un garde en permanence. Chapitre XILe condamné décrit les traces laissées aux murs de son cachot par d’autres qui l’ont précédé écritures, dessins, figures bizarres, noms des criminels…Mais arrêté devant l’image épouvantable de l’échafaud, il est tellement ému, terrifié en pensant qu’on le dresse pour son XIILe narrateur-personnage reprend la lecture de son mur après avoir dissipé son effroi qui est dû à la vue de l’échafaud, il découvre les noms des criminels qui l’ont précédé à ce cachot Dautun qui a coupé son frère en quartiers, Poulain qui a assassiné sa femme, Jean Martin qui a tué son père, le médecin Casting qui a empoisonné son ami, le fou Papavoine qui tuait les enfant à coup de couteau sur la tête. Chapitre XIIIUn jour, il assiste depuis une autre cellule à la scène barbare du ferrement des forçats enchaînement des prisonniers condamnés aux travaux forcés qui a eu lieu dans la cour de la prison. Après ce ferrement , les misérables forçats, traités comme des bête vont partir au bagne de Toulon. À la fin du spectacle tous les prisonniers le désignent en lui rappelant avec un ton moqueur sa mort , il tombeévanoui. Chapitre XIVIl est alors transféré à l'infirmerie où il se sent plus libre. Réveillé par le bruit des charrettes transportant les forçats, il pense que sa situation de condamné est mille fois mieux que celle de ces prisonniers. Chapitre XV Une fois retourné au cachot, le désespoir le laisse penser à l'évasion, à l’impossibilité d’être gracié puisque ceux qui jugent et qui condamnent pensent qu’il doit donner l’exemple aux autres, il est alors sûr qu’il n’y a que trois pas qui le sépare de la mort Bicêtre, la Conciergerie, la Grève. Chapitre XVIIl se souvient de la chanson en argot d’une jeune de quinze ans lorsqu’il était à l’infirmerie , cette complainte parle de la mort le condamné alors est à la fois terrifié par l’évocation de la mort et touché par sa voix douce et velouté. Il pense finalement que la prison détruit tout. Chapitre XVIILe condamné rêve de liberté, il s’imagine en dehors de la prison dans le port pour s’embarquer en Angleterre, mais son rêve était brisé par l’arrivée d’un gendarme .Chapitre XVIIIÀ six heures du matin, le guichetier demande au condamné ce qu’il désire à manger. Il comprend alors que son exécution aura lieu le jour XIXLe directeur, en personne lui rend visite , en se montrant gentil. Il lui demande à son tour ce qu'il désire le condamné est certain que c’est son dernier jour. Chapitre XXLe condamné trouve que la prison est partout autour de lui, elle apparaît sous toutes les formes humainesles guichetiers comme sous la forme de grille, de verrou, de porte et de murs …Elle l’enferme, le surveille et le torture. Terrifié, il s’interroge sur son devenir, sur ce qu’il vont faire de lui. Chapitre XXILe condamné reçoit la visite du prêtre pour ses dernières prières puis celle de l'huissier de justice qui lui annonce le rejet de son pourvoi en l’informant que son exécution aura lieu le même jour à la place de Grève. Pris par la terreur et le désespoir, il pense vainement à l’évasion. la Conciergerie du chapitre XXII au chapitre XLVIIChapitre XXIILe prisonnier est transféré à la Conciergerie accompagné du prêtre et de l' ils y arrivent à huit heures trente. Il s’était déjà formé une foule sur son passage. Chapitre XXIIIIl est placé dans une cellule où il fait connaissance d'un autre condamné le friauche qui occupera son ancien cachot de Bicêtre et qui sera exécuté dans six semaines. Ce friauche, fils d’un ancien condamné à mort, lui raconte son histoire et s'empare de sa XXIVLe condamné est enragé contre le friauche qui lui a pris sa veste il ne lui a pas donné, mais il était plus fort que lui. Il a peur d’être battu par ce voleur en cas de XVIl est par la suite transféré dans une autre cellule où on lui rapporte sous sa demande une chaise, un lit et ce qu'il faut pour écrire. Mais, un gendarme est installé avec lui pour empêcher toute tentative de XXVIIl est dix heures il lui reste six heures, le prisonnier plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera méprisée et repoussée à cause de lui. Il s’adresse à sa petite fille en accusant ceux qui condamne d’être responsables de son sort fatal et du devenir de sa fille après sa mort elle sera orpheline. Il n’arrive plus à croire qu’il va mourir avant la fin de ses XXVIILe condamné est hanté par la guillotine. Terrifié, il ne peut même écrire le mot ’guillotine’’. Il se demande comment on pouvait mourir sur l'échafaud en évoquant le médecin de malheur qui a inventé cette XXVIIILe condamné se rappelle avoir vu la guillotine une espèce d’estrade en bois XXIXLe condamné se révolte contre la peine de mort en espérant la grâce royale qui ne vient toujours pas et pense maintenant assistant au ferrement des forçats humiliés, il préfère mille fois la mort que d’être forçat que les galères seraient la meilleure solution en attendant cette grâce car un forçat malgré tout est vivant. Chapitre XXXLe prêtre revient voir le condamné pour l’assister et le consoler mais la rencontre tourne en malentendu car le prêtre croit que le condamné est un impieincroyant et le condamné le trouve insensible à sa situation et ses paroles sont machinales. Ensuite, il manque d’appétit bien que la table soit délicate, il est incapable de manger. Chapitre XXXILa visite de l’architecte qui informe le condamné d’un ton ironique que la rénovation de la prison aura lieu dans six mois le gendarme lui a répondu qu’il ne faut pas parler si haut dans la chambre d’un mort. Chapitre XXXIILe nouveau gendarme stupide et superstitieux demande au condamné de le visiter dans ses rêves après son exécution pour lui accorder les trois bons numéros gagnants à la loterie. Le condamné lui demande en contrepartie ses vêtements mais le gendarme n’a pas accepté car pour avoir les bons numéros le >condamné doit mourir et non s’ XXXIIIPour oublier sa situation de condamné le narrateur pense à ses souvenirs d'enfance et à sa jeunesse, à sa famille et à Pépa l'espagnole dont il était amoureux .Chapitre XXXIVIl est une heure, le condamné révèle son repentir vis à vis de son crime mais il avoue à ceux qui jugent qu'il n'était pas méchant malgré son crime. Il pense à sa liberté d’autrefois en regrettant sa mort dans quelques XXXVLe condamné pense qu’au moment où il ne lui reste que quelques heures à vivre d’autres personnes continuent à vivre normalement en exerçant leurs activités XXXVIIl se rappelle ensuite le jour où encore enfant, il est allé voir la grande clochele bourdon de Notre -Dame cathédrale à Paris.Chapitre XXXVIILe condamné décrit brièvement l’hôtel de ville Il est sinistre, lugubre et XXXVIIIIl est une heure et quart, il éprouve une violente douleur partout , il lui reste deux heures quarante cinq minutes à vivre La plume tombe de ses mains comme par une secousse XXXIXEnragé, il attaque violemment ceux qui pensent que la condamnation par la guillotine ne fait pas souffrir en se demandant comment peuvent-ils le savoir ?Il précise que la vraie souffrance est celle de l’esprit Elle commence dès le jugement et se poursuit en progressant jusqu’à l’exécution. Chapitre XLLe captif pense que sa vie dépend d'une signature, il pense au roi Charles X en espérant toujours sa grâce . Chapitre XLILe narrateur décide d’affronter la mort avec courage, il s’interroge sur le devenir de son âme après sa mort . l'idée de mourir le rend fou, il réclame un prêtre pour se confesser et soulager sa XLIIDurant son dernier sommeil une heure après l’arrivée du prêtre, il a fait un cauchemar et se réveille frissonnant et baigné dans une sueur froide. On lui annonce la présence de sa XLIIIMalheureusement, sa petite fille Marie ne l'a pas reconnu croyant que son père était mort, d’où son désespoir absolu Il est alors prêt pour l'exécution puisque la dernière fibre de son cœur était XLIVUne heure devant le condamné pour s'habituer à la mort en pensant au bourreau, à la charrette, au gendarmes, à la foule détestable, à la place de XLVIl pense à cette foule insensible à sa souffrance Elle se prépare pour assister vivement au spectacle de son exécution. Il se dit que parmi cette foule, il y a des têtes qui le suivront, dans le panier rouge, sans le savoir Certains de ceux qui sont venus pour assister à sa condamnation, viendront un jour pour leur propre exécution Ils seront alors à leur tour un spectacle pour d’autres. Chapitre XLVIPensant à sa fille, le condamné se demande s’il lui reste du temps pour lui écrire son histoireChapitre XLVIIUne note de l’éditeur montre que peut être cette histoire n’a pas été écrite par le condamné ou ces feuillets ont été perdus. Chapitre XLVIIIL’hôtel de ville , la place de Grève du chapitre XLVIII au chapitre XLIXÀ trois heures, l’heure du condamné est arrivée , on lui demande de se préparer mais il se sent faible. On l'amène à l'hôtel de ville près de la place où il sera une chambre de l'hôtel de ville, le bourreau et ses deux valets l’attendait. On lui a coupé les cheveux, on a attaché ses mains derrière le dos, on a coupé le collet de la chemise et ensuite on a lié ses deux pieds C’est la toilette du condamné .Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève. Le condamné frémit de peur devant cette foule détestable et hurlante qui l’attend. Étourdi, le condamné se sent en rupture avec ce qui l’entoure, excepté la voix de la foule. Enfin la charrette arrive à la place de Grève. Il demande une dernière faveur écrire ses dernières volontés d’homme qui sera privée de sa XLIXDevenant spectacle à cette détestable foule, le condamné est terrifié, il implore la pitié, demande, au commissaire chargé de son exécution, encore une minute pour attendre sa grâce mais il est quatre heures, il entend qu’on monte l’escalier, il sera guillotiné.
le dernier jour d un condamné résumé chapitre par chapitre